Combien investir en Bourse? Guide complet des meilleures stratégies
1. Introduction
En tant que passionné en investissement et gestion de patrimoine depuis plus de 15 ans, je constate régulièrement que la question "combien investir en bourse ?" reste l'une des plus cruciales pour les investisseurs, qu'ils soient débutants ou expérimentés. Dans cet article approfondi, nous allons explorer ensemble les stratégies les plus efficaces pour déterminer le montant optimal à investir en bourse selon votre situation.
L'investissement en bourse représente aujourd'hui l'un des leviers les plus accessibles pour faire fructifier son patrimoine sur le long terme. Les marchés financiers offrent des opportunités de croissance significatives, avec des rendements historiques moyens autour de 7% par an sur les principales places boursières. Cette performance, couplée à l'effet des intérêts composés, fait de la bourse un outil incontournable pour préparer son avenir financier.
Cependant, définir le montant à investir n'est pas une décision à prendre à la légère. Une allocation inadaptée peut avoir des conséquences importantes sur votre stabilité financière et votre capacité à atteindre vos objectifs. C'est pourquoi nous aborderons dans cet article les fondamentaux essentiels pour construire une stratégie d'investissement solide et personnalisée.
L’Essentiel à Savoir
📈 | Profil Prudent : 30% actions max, 50% obligations, 20% monétaire. Focus sur ETF grandes capitalisations et obligations investment grade. Horizon > 5 ans. |
⚖️ | Profil Équilibré : 50-60% actions, 30-40% obligations, 10% diversification. Recommandé : ETF monde et mix croissance/dividendes. |
🚀 | Profil Dynamique : 70-80% actions (40% marchés développés, 20% émergents, 20% thématiques), 15% obligations haut rendement, 5% liquidités. |
🎯 | Stratégie FIRE : Taux d'épargne 50-70%, allocation aggressive (80-90% actions), ETF monde à faibles frais, objectif capital = 25x dépenses annuelles. |
⏱️ | Investissement programmé : DCA mensuel recommandé, éviter le timing de marché. Automatisation des versements pour une meilleure discipline. |
🏗️ | Core-Satellite : 70-80% ETF monde (Core), 20-30% thématiques/opportunités (Satellite). Optimisation rendement/risque et frais. |
⚠️ | Erreurs à éviter : Sous-diversification, timing de marché, négligence des frais. Privilégier une approche disciplinée et long terme. |
📊 | Ajustements par âge : 20-30 ans (80-90% actions), 30-40 ans (70-80%), 40-50 ans (60%), 50+ ans (40-50%). Adaptation selon profil. |
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2. Les fondamentaux avant d'investir en Bourse
Constituer son fonds d'urgence : une priorité absolue
Avant même de savoir combien investir en bourse, la constitution d'un fonds d'urgence est une étape fondamentale. Ce matelas de sécurité doit représenter entre 3 et 6 mois de dépenses courantes, facilement accessibles sur un compte d'épargne sécurisé comme le Livret A. Pour une personne ayant des dépenses mensuelles de 2500€, cela représente donc entre 7500€ et 15000€ de réserve.
Le fonds d'urgence remplit plusieurs fonctions essentielles :
Il vous protège des aléas de la vie (perte d'emploi, problèmes de santé)
Il évite d'avoir à vendre vos investissements en cas de besoin urgent
Il vous permet d'investir sereinement sans craindre les fluctuations du marché
Définir ses objectifs d'investissement avec précision
Les objectifs d'investissement doivent être SMART (Spécifiques, Mesurables, Atteignables, Réalistes et Temporellement définis). Par exemple, se fixer comme objectif "d'avoir 100 000€ dans 10 ans pour financer un projet immobilier" est beaucoup plus concret que simplement "investir pour l'avenir".
Prenez le temps de réfléchir à :
Votre horizon d'investissement (court, moyen ou long terme)
Vos projets de vie (achat immobilier, préparation de la retraite)
Le niveau de risque que vous êtes prêt à accepter
Les revenus complémentaires dont vous pourriez avoir besoin
Évaluer sa capacité d'épargne mensuelle réelle
L'évaluation de votre capacité d'épargne nécessite une analyse approfondie de vos finances personnelles. Commencez par établir un budget détaillé recensant :
Vos revenus fixes et variables
Vos dépenses contraintes (loyer, charges, remboursements de crédits)
Vos dépenses courantes (alimentation, transport, loisirs)
Vos dépenses exceptionnelles prévisibles
N'oubliez pas d'intégrer une marge de sécurité dans vos calculs. Il vaut mieux commencer avec un montant d'investissement modeste mais régulier, plutôt que de devoir interrompre vos versements faute de trésorerie suffisante.
La maîtrise de ces fondamentaux constitue la base d'une stratégie d'investissement réussie. Une fois ces éléments en place, vous pourrez déterminer plus précisément le montant à investir en bourse en fonction de votre profil et de vos objectifs.
3. Quelle part de ses revenus investir selon son profil
La question combien investir en bourse fait souvent débat. Dans mon expérience de conseiller financier, j'ai constaté qu'il n'existe pas de réponse universelle. Néanmoins, certaines règles éprouvées permettent d'établir un cadre solide pour structurer ses investissements.
La règle des 50/30/20 : une base solide pour débuter
La règle des 50/30/20 constitue une excellente base pour structurer son budget et déterminer sa capacité d'investissement. Sur un revenu net mensuel :
50% sont alloués aux dépenses essentielles (logement, alimentation, charges)
30% aux dépenses de confort et loisirs
20% à l'épargne et l'investissement
Pour un salaire net de 3000€, cela représente :
1500€ pour les besoins essentiels
900€ pour les loisirs et dépenses personnelles
600€ pour l'épargne et l'investissement, dont une partie peut être orientée vers la bourse
Les ajustements selon le niveau de revenu
L'application de cette règle doit être modulée selon vos revenus. Voici les adaptations que je recommande à mes clients :
Pour les revenus < 2000€ nets/mois :
Privilégier la constitution d'une épargne de précaution
Viser 10% d'épargne/investissement minimum
Commencer par des investissements peu risqués
Pour les revenus entre 2000€ et 4000€ :
Appliquer la règle des 50/30/20 classique
Augmenter progressivement la part investissement
Diversifier les supports d'investissement
Pour les revenus > 4000€ :
Envisager une répartition 40/30/30
Augmenter la part d'investissement jusqu'à 40%
Adopter une stratégie de diversification plus poussée
Cas particulier : comment gérer les revenus variables
La gestion des revenus variables nécessite une approche spécifique. Pour les professions libérales, commerciaux ou freelances, je conseille :
Définir un revenu plancher mensuel
Appliquer la règle des 50/30/20 sur ce montant minimum
Investir 50% des revenus supplémentaires
Conserver une réserve de trésorerie plus importante
4. Les stratégies d'investissement par tranche d'âge
20-30 ans : la phase d'accumulation agressive
Vos vingts ans représentent une période unique pour construire les fondations de votre patrimoine boursier. Je me souviens de Pierre, un jeune ingénieur de 26 ans que j'ai conseillé récemment. Comme beaucoup de jeunes professionnels, il hésitait à investir, craignant de perdre ses premières économies. Nous avons travaillé ensemble sur une stratégie dynamique adaptée à son âge.
À cette période de votre vie, vous disposez d'un atout majeur : le temps. C'est précisément ce qui vous permet d'adopter une approche plus audacieuse dans vos investissements. Voici les points clés d'une stratégie efficace pour cette tranche d'âge :
L'allocation de votre portefeuille devrait favoriser une forte exposition aux actions, idéalement entre 80% et 90%. Pourquoi ? Parce que vous avez le temps d'absorber les fluctuations du marché et de profiter pleinement du potentiel de croissance à long terme.
Pour bien démarrer :
Privilégiez les ETF mondiaux comme base de votre portefeuille. D’ailleurs, je vous invite à lire mon articles sur les meilleurs ETF selon les secteurs.
Investissez régulièrement, même des petites sommes
Profitez au maximum des dispositifs d'épargne entreprise, notamment l'abondement employeur
30-40 ans : la période de consolidation
La trentaine marque souvent un tournant dans nos vies. C'est l'âge où Marie, une de mes clientes de longue date, a dû repenser sa stratégie d'investissement avec l'arrivée de son premier enfant. Cette période nécessite un équilibre subtil entre croissance et prudence.
Votre portefeuille devrait progressivement évoluer vers une structure plus équilibrée. Je recommande généralement une allocation d'environ 70-80% en actions, complétée par des investissements plus stables. C'est aussi le moment idéal pour diversifier vos sources de rendement.
Je conseille à mes clients trentenaires de :
Commencer à constituer une poche de dividendes pour générer des revenus réguliers
Explorer les opportunités en immobilier papier via les SCPI
Maintenir une discipline d'investissement régulier, en augmentant si possible les montants
40-50 ans : l'équilibre et la diversification
La quarantaine représente souvent l'apogée de notre carrière professionnelle. Laurent, un cadre de 45 ans, m'a récemment confié qu'il souhaitait "mettre les bouchées doubles" pour sa retraite. Cette prise de conscience est fréquente à cet âge, mais attention à ne pas surcompenser en prenant des risques excessifs.
C'est le moment d'adopter une approche plus mesurée, en privilégiant une stratégie équilibrée. Le patrimoine constitué commence à devenir significatif et mérite une protection accrue. Une répartition typique pourrait ressembler à :
Un portefeuille plus diversifié avec :
60% d'actions, en privilégiant les grandes capitalisations
30% d'obligations de qualité
10% d'actifs décorrélés comme l'or ou l'immobilier papier
50 ans et plus : la sécurisation du patrimoine
Après 50 ans, on se pose plus trop la question combien investir en bourse, la préservation du capital devient prioritaire. Je me souviens de Jacques, 55 ans, qui s'inquiétait de la volatilité de son portefeuille à l'approche de la retraite. Nous avons travaillé ensemble sur une transition en douceur vers une stratégie plus défensive.
L'objectif n'est plus tant la performance maximale que la régularité des rendements et la protection du capital constitué. Une approche conservatrice mais pas immobile est de mise. Votre stratégie devrait viser à :
Structurer votre portefeuille avec :
40-50% d'actions de grandes entreprises versant des dividendes réguliers
Une part croissante d'obligations d'État et d'entreprises de premier rang
Des placements monétaires pour la sécurité
Une exposition maintenue mais limitée aux actifs de croissance
Cette répartition par âge n'est pas un carcan rigide. Chaque situation est unique et mérite une approche personnalisée. Votre parcours de vie, votre situation professionnelle et familiale, vos objectifs personnels sont autant d'éléments qui peuvent justifier des ajustements à ces recommandations générales.
5. Comment adapter son investissement selon son profil de risque
Profil prudent : stratégie et allocation recommandée
Je pense à Sylvie, une enseignante de 45 ans, qui m'a consulté récemment. Son principal objectif ? Faire fructifier son épargne sans prendre de risques excessifs. Pour elle, comme pour beaucoup d'investisseurs prudents, la préservation du capital est prioritaire.
Une allocation adaptée au profil prudent devrait se composer de :
30% d'actions maximum, principalement de grandes entreprises stables
50% d'obligations d'État et d'entreprises de qualité
20% de placements monétaires et fonds en euros
Pour ce profil, je recommande particulièrement :
Des ETF sur indices de grandes capitalisations
Des obligations investment grade
Des SCPI de rendement pour la partie immobilière
Un horizon d'investissement minimal de 5 ans
Profil équilibré : optimiser le rapport rendement/risque
Le profil équilibré est celui que je rencontre le plus fréquemment. Thomas, consultant indépendant de 35 ans, représente bien cette catégorie d'investisseurs. Il recherche un équilibre entre performance et sécurité, acceptant une volatilité modérée pour obtenir des rendements plus attractifs.
Une allocation équilibrée type se compose généralement de :
50-60% d'actions diversifiées géographiquement
30-40% d'obligations
10% d'actifs de diversification (immobilier, matières premières)
Stratégies recommandées :
Diversification internationale via des ETF monde
Mix entre valeurs de croissance et de rendement
Introduction progressive d'actions de moyennes capitalisations
Rééquilibrage régulier du portefeuille
Profil dynamique : maximiser la croissance
Les investisseurs au profil dynamique, comme Marc, jeune entrepreneur de 28 ans que j'accompagne, sont prêts à accepter une forte volatilité pour viser des performances supérieures. Leur horizon d'investissement long leur permet cette prise de risque.
Structure de portefeuille conseillée :
70-80% d'actions, dont :
40% sur les marchés développés
20% sur les marchés émergents
20% sur des thématiques de croissance
15% d'obligations à haut rendement
5% de liquidités
Points d'attention particuliers :
Maintenir une discipline d'investissement même en période de baisse
Diversifier les secteurs et zones géographiques
Garder une poche de liquidités pour saisir les opportunités
6. Les meilleures stratégies d'investissement régulier
L'investissement programmé (DCA)
Alors combien investir en bourse avec différentes stratégies? Le Dollar Cost Averaging (DCA) est probablement la stratégie que je recommande le plus souvent à mes clients. Le principe est simple : investir la même somme à intervalles réguliers, indépendamment des conditions de marché.
Avantages du DCA:
Réduction du risque de timing
Discipline d'investissement
Effet de lissage des prix d'entrée
Simplicité de mise en œuvre
Pour optimiser cette approche :
Automatisez vos versements
Choisissez une fréquence mensuelle ou trimestrielle
Gardez le cap même en période de volatilité
La stratégie value averaging
Plus sophistiquée que le DCA, la stratégie value averaging vise à investir plus quand les marchés baissent et moins quand ils montent. Cette approche demande plus de suivi mais peut s'avérer plus performante sur le long terme.
Mise en pratique :
Définissez un objectif de croissance mensuel
Ajustez vos versements selon l'écart avec cet objectif
Maintenez une réserve de liquidités suffisante
Exemple concret : Si vous visez une croissance mensuelle de 1% sur un portefeuille de 10 000€, vous ajusterez vos versements pour atteindre 10 100€ le mois suivant, quel que soit le comportement du marché.
L'approche core-satellite
Cette stratégie, que j'ai mise en place avec succès pour de nombreux clients, combine le meilleur des deux mondes : sécurité et performance potentielle.
Structure type d'un portefeuille core-satellite :
Partie "Core" (70-80% du portefeuille) :
ETF monde à faibles frais
Grandes capitalisations diversifiées
Obligations de qualité
Partie "Satellite" (20-30% du portefeuille) :
Actions de croissance sélectionnées
Thématiques d'investissement spécifiques
Opportunités tactiques
Cette approche permet de :
Maintenir une base stable et diversifiée
Profiter d'opportunités spécifiques
Adapter facilement son niveau de risque
Optimiser les coûts de gestion
La clé du succès avec ces stratégies réside dans leur application régulière et disciplinée. Comme je le répète souvent à mes clients, ce n'est pas le timing parfait qui compte, mais la constance dans l'effort d'investissement.
7. Optimiser son portefeuille selon sa situation personnelle
Impact de la situation familiale
La composition de votre foyer influence directement votre stratégie d'investissement. J'ai récemment conseillé deux clients aux profils très différents :
Sophie, mère célibataire de deux enfants :
Constitution prioritaire d'une épargne de précaution plus importante
Allocation plus prudente avec 40% d'actions maximum
Focus sur les investissements générant des revenus réguliers
Planification successorale intégrée à la stratégie
À l'opposé, Paul, célibataire sans enfant :
Capacité à prendre plus de risques
Allocation dynamique jusqu'à 80% d'actions
Horizon d'investissement plus flexible
Priorité à la croissance du capital
Adaptation selon la stabilité professionnelle
Votre situation professionnelle est un facteur déterminant dans le choix de votre stratégie d'investissement. Prenons deux exemples concrets :
Pour un fonctionnaire comme Antoine :
Possibilité d'une allocation plus agressive
Investissements réguliers programmés
Utilisation optimale des dispositifs d'épargne salariale
Vision long terme privilégiée
Pour une freelance comme Claire :
Constitution d'une réserve de trésorerie plus importante
Investissements plus flexibles pour s'adapter aux variations de revenus
Diversification accrue pour réduire les risques
Mix entre placements liquides et investissements long terme
Influence du patrimoine existant
Le patrimoine déjà constitué oriente naturellement la stratégie à adopter. Mes recommandations varient significativement selon les situations :
Pour un patrimoine modeste en construction :
Focus sur l'accumulation régulière
Utilisation d'ETF à faibles coûts
Simplicité et automatisation des investissements
Acceptation d'une volatilité plus importante
Pour un patrimoine conséquent :
Diversification poussée entre les classes d'actifs
Attention particulière à la fiscalité
Stratégies de préservation du capital
Recours possible à des produits plus sophistiqués
8. La stratégie FIRE : une approche radicale de l'investissement
Les principes fondamentaux du FIRE
La stratégie FIRE repose sur quelques principes clés :
Un taux d'épargne très élevé (50-70% des revenus)
Des investissements agressifs principalement en actions
Une optimisation poussée des dépenses
Un objectif de capital correspondant à 25 fois les dépenses annuelles
Différentes variantes du FIRE
J'observe plusieurs approches chez mes clients :
Lean FIRE :
Mode de vie minimaliste
Dépenses réduites (1500-2000€/mois)
Capital cible plus accessible
Forte discipline budgétaire
Fat FIRE :
Maintien d'un style de vie confortable
Dépenses plus élevées (4000€+/mois)
Capital cible plus important
Plus grande flexibilité dans les choix de vie
Stratégie d'investissement FIRE
Pour atteindre ces objectifs ambitieux :
Allocation très aggressive en actions (80-90%)
Focus sur les ETF monde à faibles frais
Réinvestissement systématique des dividendes
Diversification via l'immobilier locatif
9. Les erreurs à éviter dans son allocation
La sous-diversification
La concentration excessive est l'une des erreurs les plus fréquentes que j'observe. Je me souviens de Mathieu, qui avait investi 70% de son portefeuille dans le secteur technologique. Voici comment éviter ce piège :
Points de vigilance essentiels :
Diversifier entre les secteurs d'activité
Répartir ses investissements géographiquement
Mixer les styles d'investissement (croissance/valeur)
Varier les classes d'actifs
Le timing de marché
Tenter de "timer" le marché est probablement l'erreur la plus coûteuse. Sarah, une cliente expérimentée, a attendu "le bon moment" pendant des mois en 2020, manquant une partie importante du rebond.
Pour éviter ce piège :
Adoptez une stratégie d'investissement régulier
Concentrez-vous sur le long terme
Évitez les décisions émotionnelles
Gardez une réserve pour les opportunités
La négligence des frais
L'impact des frais sur la performance à long terme est souvent sous-estimé. Un exemple parlant : sur 30 ans, une différence de 1% de frais peut réduire votre capital final de 25%.
Comment optimiser vos frais :
Privilégiez les ETF à faibles coûts
Limitez les transactions
Comparez les frais de courtage
Négociez les frais de gestion si possible